Gaspar Païva ''Essences''
& Natalia Rudychev "Miracle" Programme associé.

À la Galerie l'Éphémère 59 grande rue. Le Mans.
Du 3 au 31 mars.
Les Week-end 14h-18h30 et dimanche de 11h à 12h30 et sur RDV.
Vernissage le jeudi 14 mars à 18h
Conférence de Nathalia Rudychev 23 mars à 17h

Francois Chauvin les photographiques

"Avec cette série  qui raconte peut-être le dernier instant avant l’évanescence d’un portrait, je tente de replacer le mouvement qui encore subsiste ; à moins que, plus exactement, je tente de répondre à deux questions ; la première : que reste-t-il du portrait [dont le but premier est de représenter de façon ressemblante une personne ou à en interpréter les traits et les expressions] lorsque l’image progressivement s’efface ? La deuxième [puisqu’il s’agit de portraits de femmes] : existe-t-il  quelques traits caractérisant la féminité ?"
Gaspar Païva

 

 

 

gaspard paiva les photographiques 2

 Ce projet a reçu une mention honorable au Prix de la Photographie Paris PX3 2023 et au Prix Julia Margaret Cameron 2022. Les images ont été exposées à New York et à Barcelone.
”Miracle" célèbre la beauté d'une vie parfaitement imparfaite, la préciosité des moments partagés, l'évanescence de la vie, la vulnérabilité d'être amoureux - tout ce qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue.
"Je suis une poète qui crée des haïkus depuis toujours ainsi qu'une photographe. “Miracle” est ma façon d’écrire visuellement des haïkus. L'utilisation du noir et blanc me permet de me concentrer sur des éléments tels que les textures, les formes et la composition. Chaque image est une invitation à chérir un l’ici et maintenant suspendu entre le futur et le passé. Les impressions de ce projet ont été créées en transférant de l'encre d'un transparent sur du papier aquarelle Arches 88 à l'aide d'un médium de transfert à base d'alcool. La technique de transfert complète l'idée d'une transition en douceur vers le domaine des épiphanies personnelles que j'invite mes spectateurs à apprécier.
aube
je touche d'un souffle
un sourire naissant"
Natalia Rudychev